dimanche 21 novembre 2010

Etats d'Âme.

De moins en moins majoritairement libres, certains temps se font difficiles pour ce blog.
Je profite de l'une de ces fréquentes insomnies pour y rédiger ces quelques lignes.

Où s'en trouve mon âme ?
Un peu perdue dois-je avouer.
Je crois que la relation que j'ai dernièrement perdue n'avait rien de libertin. Non pas que je regrette avoir perdu du temps ou l'élan que je m'étais moi même donné à la création de mon compte anonyme. Mais la vie qu'elle nous proposait, cette relation intime, horizontale, que je n'ai pas choisie, me rempli de doutes quant à mes réelles intentions et choix de vie. Ne sont ils pas les couples les plus profondément liés qui forment avec les années et l'expérience les libertins les plus solides ?

Elle semblait capable d'entendre tout mes fantasmes et me dire les siens, certains sont même nés, et donc encore lié, avec et à Elle.

Pourtant ce n'est pas ce que je recherche, et ce dont je me sens capable.
Je ne peux pas me projeter dans une relation à but de maison, et de famille.
Trop d'années derrières nous et d'attentes pour l'avenir nous ont empêchés une relation libertine comme je souhaite entretenir aujourd'hui.

Que je cherche, même si je n'aime pas utiliser ce verbe. Et même si je ne sais toujours pas avec qui je souhaite partager cette relation.

Au maximum de la tournure que prend mon esprit, se serait un couple, l'Homme et la femme seraient l'un comme l'autre tout aussi candaulistes que bissexuels.

Esprit peu alimenté, peut être n'ai je pas les bons mots de présentations qui amèneraient quelques réponses avenantes.

Aussi dois je constater que mon réseau reste encore tout petit. Même si j'y garde certaines valeurs sures, FB n'est certainement pas l'interface la plus évidente pour rencontrer quelques âmes sœurs.

A chercher quelques sites de rencontres, ou forums libertins, je ne suis tombé que sur des sites ou au mieux, gratuitement, tu as le droit de remplir le formulaire d'inscription.
Je ne comprends pas.
Comment espérer quoique ce soit sur un site payant, où l'on fait plus face à des animatrices qu'autres choses, où les réels couples sont, de par leurs définitions libertines, tout autant sur les réseaux libres, je trouve d'ailleurs déplacé l'esprit du couple qui demanderait aux hommes de payer pour pouvoir entrer en contact avec eux.

Enfin bref, comprimé entre ces deux faits, mes recherches ont enfin abouties sur PlaceLibertine.com, grâce à un commentaire laissé sur une page par un utilisateur FB.
Site, auquel je suis inscrit depuis quelques heures, qui me laisse espérer une meilleure approche des personnes avec qui il me sera possible de partager un avenir.

jeudi 21 octobre 2010

Mise au point.


"Mon amie et moi, avons décidé de ne plus partager cet avenir libertin."

Aussi simplement pourrais je le dire il en est pas de la sorte en intérieur. Les raisons qui nous ont poussées à cette... évidence sont d'ordres personnels et trouve leurs racines il y a déjà plusieurs années. Aussi ne m'étendrais je pas plus à ce sujet.

Le chemin parcourut, les rencontres effectuées, nos dites expériences, restées intimes, ont guidés mes premiers pas.
Même si esseulé, comme au commencement, je me permet de me considérer, sans prétention, devenu, libre, libertin, d'esprit, qui n'oblige pas la pratique pour se reconnaitre.

La curiosité continue de guider mes pas, je ne sais encore que trouver dans ce destin. Sauf les valeurs amicales des plus solides que crées certaines similitudes d'esprits.

Compréhension, soutien, confiance, partage, respect...

Avoir associé cette ouverture avec une personne intime rend aujourd'hui les choses difficiles, ne serait ce à la lecture de certains écrits... L'esprit embrouillé de sentiments et d'amertume dans toutes ses déclinaisons, perd son équilibre.
Tout autant pour l'écriture.

Je faisais passer pour débordement de rentrée notre non présence dut à nos doutes introduits. Aujourd'hui je m'installe sur mon fauteuil en osier, assez confortable une fois muni d'un oreiller, tentant de récupérer un équilibre.

Me reste à vous souhaiter bonnes lectures, vous saluer, et vous recommander, à ceux qui ne connaitraient pas encore, ce blog nouvellement apprécié : http://www.melodylibertine.com/

jeudi 23 septembre 2010

Première et seconde lois de l'érostisme selon Emmanuelle.


Mario : "Si ce n'est pas la gastronomie qui vous intéresse, à quoi tenez-vous par dessus tout ?"
Emmanuelle : "A la jouissance !..."
M : "Et la façon d'y parvenir ne compte-t-elle pas d'avantage ?"
E : "Mais non ! Enfin... Je ne sais pas... Eh bien, l'érotisme est... Comment dire ?... Le culte du plaisir des sens affranchi de toute morale..."
M : "Absolument pas ! C'est exactement le contraire..."
E : "Le culte de la chasteté ?"
M : "Il ne s'agit pas d'un culte ! Mais de... La victoire de la raison sur la mythe... Ce n'est pas un mouvement des sens, c'est un exercice de l'esprit. Ce n'est pas de l'excès de plaisir... Mais le plaisir de l'excès ! Ce n'est pas une licence, mais une règle... Et c'est une morale !"
E : "Dites-moi ce qui devrait me tenter ?"
M : "J'aimerais que la vertu suprème fût la passion de la beauté..."

E : "... En fait, l'érotisme, c'est le contraire de faire l'amour !"
M : "L'érotisme est le talent le plus humain dont les hommes soient doués... C'est le contraire de la nature !"
E : "Donc, pour vous, le seul amour possible est l'amour contre nature ?"
M : "L'Amour est toujours contre nature... Il est l'anti-nature absolue... Il est le crime."

E : "Je suis lesbienne !... J'aime sentir la bouche d'une femme sur ma bouche... Les mains d'une femmes... Qui se glissent en moi... J'aime me laisser aller..."
M : "...Et votre mari, a-t-il eu des expériences homosexuelles ?"
E : "Oh, non ! Enfin... Je ne crois pas."
M : "Mais, si vous l'appreniez... Si vous le voyiez... Que diriez-vous ?"
E : " Rien !... Je ne dirais rien..."

M : "Tout temps consacré à autre chose qu'à l'Art d'aimer est du temps perdu... L'Art d'aimer entre des bras toujours plus nombreux... Savez-vous faire l'amour à vous même ? Vous masturbez-vous quelquefois ? Très souvent ! Il faut que le nombre de ceux qui font l'amour soit impair... Un est impair... Quand vous vous caressez, vous êtes seule, actrice, et spectatrice...
La multiplicité est un élément d'érotisme à elle seule... Inversement, là où il y a limitation, il n'y a pas d'érotisme... Limitation à deux... L'adultère est érotique !
Le triangle qui rachète la banalité du couple.
Aimeriez-vous faire l'amour avec deux hommes en même temps ?... Ou être pénétrée en même temps par trois esclaves obéissants et prévenants ?
E : "Mais je ne suis pas insatiable à ce point ! Et puis comment résister à tant de plaisir ? Mais si l'érotisme a besoin d'extraordinaire, d'inédit, ses progrès même le mettent en danger... Un beau jour toutes les formules auront été expérimentées !"
M : "Quoi qu'il en soit, ma chère amie, vos craintes sont vaines car l'érotisme n'est pas une hérédité... C'est une expérience personnelle ! Maintenant, vous voici face à la seconde loi de l'érotisme... Le besoin d'asymétrie."
E : "Et quelle était la première loi ?"
M : "Celle de l'insolite !"


"Emmanuelle", adaptation BD d'après le roman d'Emmanuelle Arsan, édition Delcourt.

vendredi 20 août 2010

Le grand masturbateur #1

Je n'arrive pas à me souvenir avec exactitude de l'âge... - Fin collège ? Plus tôt... ? Certainement pas plus tard. - auquel je découvris les joies de la masturbation.
Je ne me souviens plus non plus si à cette époque, le soir couché dans mon lit, j'écoutais déjà Max et son star system. En tout cas je n'ai pas de souvenir de la radio ce soir là.
Mon sexe n'était pas réellement en érection. Couché sur le dos, je jouais avec lui. Je découvrais, partageant son plaisir, qu'il aimait que je le fasse tourner autour du bout de mes doigts. De plus en plus rapidement, parfois changeant de direction.
Le plaisir en moi, encore inconnu, ne cessait de croitre.

[Oh je me souviens ma chambre, de et à l'instant. Je n'avais jusqu'à la seule l'image de mon lit, mais ma chambre et quelle maison accueil l'action me revienne maintenant. D'ailleurs celle où toute mon enfance se passa, avant que mes parents entame leur divorce et déménagent un nombre incalculable de fois. ]

Quand l'éjaculation se fit, sans que je comprenne plus ce qu'il se passait, sous le vertige de l'emprise, mon sexe n'était pas beaucoup plus fort, en tout cas loin de son maximum encore inconnu. N'avait effectué juste ce qu'il fallait pour me montrer comment il peut aussi fonctionner.

J'ai pris des semaines je crois à le dompter. Car il me semble aujourd'hui que c'est de ce soir là que me surprirent à plusieurs reprises quelques éjaculations intempestives de nuit. Mes rêves érotiques de la même manières se multipliaient, à travers eux je devais tenter de ne pas les interrompre. Souvent était ce à l'approche d'une pénétration, par une de ces éjaculations qui viendront elles bel et bien salir les draps, que je quittais le rêve.

J'ai vite pris gout à ces caresses solitaires, et les ai multiplié qu'avec peu de répits, me convaincant que quand je serai plus grand, cela passera. Aujourd'hui c'est avec passion que je me retrouve à en proposer une rubrique sur ce blog.

jeudi 5 août 2010

Présentabrifications, lues et approuvées.

J'ai longtemps préféré imaginer partager l'amour pluriel avec un nombre impair de participant, plutôt que pair. A 5 plutôt qu'à 4, ne serait ce pour éviter que les couples ne se prêtent qu'à un simple échangisme.

Ma réponse étonna plusieurs de mes interlocuteurs, mais mon premier fantasme n'est pas de partager ma couche avec deux femmes. Me refusant la prétention de pouvoir les satisfaire pleinement.
(Il est clair que dans ce raisonnement je n'envisageais que l'aspect hétéro de chacun.)
Aujourd'hui je ne peux que constater que la majorité des plans à trois se font pour satisfaire un désir bissexuel que ressent la moitié féminine d'un couple que l'on définirait alors libertin.

Même si l'idée me semble tout aussi intéressante que l'expérience, soutenue par le fait que Ma Demoiselle n'en partage pas différemment l'envie, le désir pluriel que je ressens le mieux aujourd'hui est, accompagné de pluralité masculine, de partager avec eux le désir de combler Ma.

J'aime imaginer pouvoir me retirer du lit pour me poser. Et derrière un masque de fumée ne pas perdre une goutte de Ma partenaire amenée vers de plus haut plaisir grâce à notre(s) amant(s) encore couché(s) sur(sous) Elle.

C'est ce que je ressens le mieux, avec ce que nous sommes, puis je dire, même si il va de soit que la découverte, de vivre, et encore de nouveau, les différentes étapes que nous provoquerons jusqu'à là m'enivrent bien plus encore. De fantasmes certifiés naissent de nouvelles envies.

La bissexualité intrigue. J'ai beaucoup à découvrir, et n'ai pas les yeux fermés face au plaisir que peut procurer une bite. Buccalement, de moins. Ne vous arrive t il pas de saisir pourquoi votre amie prend t elle tant de plaisir à vous dévorer ?
La sensation parfois semble me parvenir et, tout aussi normal que cela me semble, peut m'exciter.
Je peux être compris par certains, mais à ma surprise rarement par les hommes.
Il est, en même temps, peu d'amis voir aucun avec je puisse pleinement causer de sexualité libertine. Ah si, éventuellement pour faire une boutade.

Il sera 14 heures quand l'horloge devant ta porte sonnera disait l'expression.

La bissexualité féminine, il me serais grand plaisir de pouvoir apporter à Ma Demoiselle la réalisation de l'un de ses fantasmes, peut être même arrivera t il sans nous en rendre compte. Il restera toujours certainement un peu moins personnel.

Voili voilou quelques élucubrations d'esprit, avant que je ne penses plus en nombres impairs, mais en nombres premiers.


Salutations de bonne journée, n'hésitez pas à vous présenter !

jeudi 29 juillet 2010

Tel au premier jour.

Finalement jamais la sonnette ne sonna... Le téléphone, si. Après proposition, je me présente à son domicile.
Nous avons discuter, discuter, et discuter. Et avons prie, comme au premier jour, (qui ne date pas tant que ça (à peine plus d'un mois))la décision de partager, notre sexualité, à destin libertin.

Suite à l'orage, il fallait replacer par la parole nos actions dans leur contexte, tel le premier jour. Et avons pu par exemple se dire simplement qu'il ne pouvait pas ressurgir de problème si parfois de chez moi je me connectais avec notre pseudo pour causer sans Elle à mes cotés pour "valider" ou agrémenter mes dires. Chose que je me refusais jusqu'à lors.
Après avoir largement suggéré que nous fassions deux comptes et de les lier entre eux, nous optâmes finalement à sa demande d'utiliser le Notre, unique, qui nous sera de tout notre long. Pour la simple raison qu'Elle se sent pas de naviguer sur la toile ou bien même FB, allé à la rencontre de profils, et de discussions. Je serai, peut on dire, son interface entre Vous et Nous. Je ne saurai expliquer pourquoi je bloquais avant, je n'osais causer seul en notre nom...

Ensemble nous avons pu mettre à jour notre page FB, puis discuter des quelques dernières rencontres et évènements passés sur le net : de l'apparition de Don Juan le personnage de Molière sur notre boite mail; de ce qui agrémentera nos expériences à venir; de ce blog que j'ai commencé à rédiger ce jour même.

Mon blog lui paru tel mon journal intime avec la crainte de tomber par inadvertance sur une nouvelle à lire qu'elle ne devrait connaitre.
"De ce qu'il sera rédigé ici, il n'y a rien qui me sera impossible de t'en causer avant même de l'écrire." lui ai-je répondu.
Ce qui ne changera rien à son ressentit, mais servira à équilibrer les notre.



Je pense avoir résumé les quelques semaines écoulées depuis mon arrivée sur le net.
Il est temps maintenant de passer aux présentations, tel un premier jour. Je pense tenir ce blog plus anecdotiquement que chronologiquement, au moins en ces débuts le temps que je trouve mon rythme.

Bonne journée à tous.

mercredi 28 juillet 2010

Premiers pas.

Mes premiers plaisirs donc, furent manuscrits. Et m'ont persuadés qu'il était possible de rencontrer via le net, d'une manière tout à fait honnête et naturelle, les personnes avec qui partager mes fantasmes, ou du moins les interrogations qui en découlent.

Voici deux d'entre eux : http://www.experiences-libertines.com/ et http://mafemmepreferelesblondes.blogspot.com/

Des rencontres sur FB se sont succédées, parfois éphémères, certaines sont encore entretenues aujourd'hui.
Ceci dit, très vite, il est arrivé ce qui ne doit pas être commun dans ce genre d'histoire : Nous avons décidé, avec une amie à qui j'exposais mes nouvelles "rencontres", de partager cette expériences, de faire la route ensemble. Il y a de cela je ne pense pas plus d'un mois.

Nous avons aimé nous intéresser aux Clubs libertins de notre région, se choisir l'un d'entre eux pour le visiter (expérience que je transcrirait dans un prochain article); faire quelques photos ensembles, les partager sur notre compte devenu commun comme présentation physique de nos êtres, imaginer partager plus avec certains couples; s'habiller, via le net ou aller comparer les prix au sex shop.

Depuis notre "association", je ne rédige un mail, un mp, ou un commentaire sur FB sans l'esprit du "nous" qui... Comment dire, régit notre, ou du moins mienne, façon d'envisager l'acte libertin.
Sommes assez complémentaire d'ailleurs, partageant les mêmes fantasmes, au même degré.

La situation explique implicitement que nous ne vivons pas ensemble. Me retrouvant chez moi, parfois, l'envie de partager quelques mots avec autrui me prenait, et je n'arrivais pas à la satisfaire, n'arrivant à considérer que je puisse utiliser notre compte pour quelques échanges à destin plus personnelle.
Même si il reste plus du domaine de la prise de contact qu'un désir de sexe à assouvir. Échanges de mots, recherches de profils sincères, de personnes proche de nous, géographiquement ou année-de-naissancement. Je me retrouvais à ne pas oser utiliser le compte sans elle.

La réaction fut mauvaise quand j'ai abordé le sujet. Mon amie eu le sentiment que je la considérais comme un boulet, qu'elle n'était pas à la hauteur. Les personnes que nous sommes étant, nous n'avons pas réussit immédiatement à trouver un terrain d'entente, sombrant dans les reproches et états de vexation (le fait d'être vexé, si je n'abuse).

Il n'est rien de plus important à mes yeux que de continuer l'histoire ensemble, quitte à ce que nous aillons chacun notre profil, liés entres eux, pouvant alors chacun s'exprimer aux rythmes et envies qui nous restent propres.
Si il le faut je reprendrais ma démarche seul, avec un autre profil ou pas. Mais ai confiance en la solution que nous pouvons nous trouver ce soir autour d'une nouvelle discussion. Elle m'a témoigné par mp qu'elle le souhaitait aussi. Je l'attend pour l'heure, d'une minute à l'autre la sonnette devrait retentir.

Bonjour à tous.

Depuis mon arrivé sur le net, m'obsède l'idée de tenir un blog.
J'ai été hautement surpris, très agréablement, quant s'est révélé à moi l'existence de plusieurs autres, tels ceux de Marilo, ou M Chapeau.
Je ne pensais pas pouvoir trouver sur la toile des faits retranscrits avec autant d'authenticité, passions, et respect.

Je cherchais à l'époque comment m'approcher de ce qui brule mon désir, de monde libertin qui, soit dit en passant, semble se faire de plus en pus commun en France. Soit dit en passant, n'empêche que jusqu'à là, la toile ne m'avait révélé que de vulgaires sites de rencontres ou autres comptes fake facilement trouvable sur FB avec un compte standard.

Vulgaire, c'est à dire pas toujours très attirant et en rapport à l'image que je peux me faire de l'esprit libertin aujourd'hui. Toujours payant, chose qui ne me semble pas nécessaire pour rencontrer une tiers personne qui trouverait également ça illogique de payer pour rencontrer.

J'ai pu trouver sur FB quelques personnes avec qui le contact passe bien.
Mon but premier n'est pas l'accomplissement ni l'acte, mais bel et bien de rencontrer, discuter, partager expériences, jusqu'à une réelle affection, un sentiment d'amour, oserais je dire, que les mp et mails sauront nourrir.

Aujourd'hui j'ai dans mon sac quelques premières expériences.
Tout comme je fut libéré de pouvoir lire certaines des votre, je retranscrirais les miennes pour, faut bien l'avouer, espérer un jour aider une personne comme les premiers blogs croisés pour moi ont fait.

Je pense qu'il y a un petit coté exhibitionniste, éhéh, mais alors j'assume complètement, d'ailleurs les quelques photos (que je pense pouvoir faire suivre ici à l'avenir, en témoignent).

Je m'en vais de ce pas structurer ce blog et vous y expliquer les quelques semaines depuis que l'on m'a présenté le seuil de la porte qui s'ouvre encore devant moi.

Bonne lecture à tous !