vendredi 20 août 2010

Le grand masturbateur #1

Je n'arrive pas à me souvenir avec exactitude de l'âge... - Fin collège ? Plus tôt... ? Certainement pas plus tard. - auquel je découvris les joies de la masturbation.
Je ne me souviens plus non plus si à cette époque, le soir couché dans mon lit, j'écoutais déjà Max et son star system. En tout cas je n'ai pas de souvenir de la radio ce soir là.
Mon sexe n'était pas réellement en érection. Couché sur le dos, je jouais avec lui. Je découvrais, partageant son plaisir, qu'il aimait que je le fasse tourner autour du bout de mes doigts. De plus en plus rapidement, parfois changeant de direction.
Le plaisir en moi, encore inconnu, ne cessait de croitre.

[Oh je me souviens ma chambre, de et à l'instant. Je n'avais jusqu'à la seule l'image de mon lit, mais ma chambre et quelle maison accueil l'action me revienne maintenant. D'ailleurs celle où toute mon enfance se passa, avant que mes parents entame leur divorce et déménagent un nombre incalculable de fois. ]

Quand l'éjaculation se fit, sans que je comprenne plus ce qu'il se passait, sous le vertige de l'emprise, mon sexe n'était pas beaucoup plus fort, en tout cas loin de son maximum encore inconnu. N'avait effectué juste ce qu'il fallait pour me montrer comment il peut aussi fonctionner.

J'ai pris des semaines je crois à le dompter. Car il me semble aujourd'hui que c'est de ce soir là que me surprirent à plusieurs reprises quelques éjaculations intempestives de nuit. Mes rêves érotiques de la même manières se multipliaient, à travers eux je devais tenter de ne pas les interrompre. Souvent était ce à l'approche d'une pénétration, par une de ces éjaculations qui viendront elles bel et bien salir les draps, que je quittais le rêve.

J'ai vite pris gout à ces caresses solitaires, et les ai multiplié qu'avec peu de répits, me convaincant que quand je serai plus grand, cela passera. Aujourd'hui c'est avec passion que je me retrouve à en proposer une rubrique sur ce blog.

jeudi 5 août 2010

Présentabrifications, lues et approuvées.

J'ai longtemps préféré imaginer partager l'amour pluriel avec un nombre impair de participant, plutôt que pair. A 5 plutôt qu'à 4, ne serait ce pour éviter que les couples ne se prêtent qu'à un simple échangisme.

Ma réponse étonna plusieurs de mes interlocuteurs, mais mon premier fantasme n'est pas de partager ma couche avec deux femmes. Me refusant la prétention de pouvoir les satisfaire pleinement.
(Il est clair que dans ce raisonnement je n'envisageais que l'aspect hétéro de chacun.)
Aujourd'hui je ne peux que constater que la majorité des plans à trois se font pour satisfaire un désir bissexuel que ressent la moitié féminine d'un couple que l'on définirait alors libertin.

Même si l'idée me semble tout aussi intéressante que l'expérience, soutenue par le fait que Ma Demoiselle n'en partage pas différemment l'envie, le désir pluriel que je ressens le mieux aujourd'hui est, accompagné de pluralité masculine, de partager avec eux le désir de combler Ma.

J'aime imaginer pouvoir me retirer du lit pour me poser. Et derrière un masque de fumée ne pas perdre une goutte de Ma partenaire amenée vers de plus haut plaisir grâce à notre(s) amant(s) encore couché(s) sur(sous) Elle.

C'est ce que je ressens le mieux, avec ce que nous sommes, puis je dire, même si il va de soit que la découverte, de vivre, et encore de nouveau, les différentes étapes que nous provoquerons jusqu'à là m'enivrent bien plus encore. De fantasmes certifiés naissent de nouvelles envies.

La bissexualité intrigue. J'ai beaucoup à découvrir, et n'ai pas les yeux fermés face au plaisir que peut procurer une bite. Buccalement, de moins. Ne vous arrive t il pas de saisir pourquoi votre amie prend t elle tant de plaisir à vous dévorer ?
La sensation parfois semble me parvenir et, tout aussi normal que cela me semble, peut m'exciter.
Je peux être compris par certains, mais à ma surprise rarement par les hommes.
Il est, en même temps, peu d'amis voir aucun avec je puisse pleinement causer de sexualité libertine. Ah si, éventuellement pour faire une boutade.

Il sera 14 heures quand l'horloge devant ta porte sonnera disait l'expression.

La bissexualité féminine, il me serais grand plaisir de pouvoir apporter à Ma Demoiselle la réalisation de l'un de ses fantasmes, peut être même arrivera t il sans nous en rendre compte. Il restera toujours certainement un peu moins personnel.

Voili voilou quelques élucubrations d'esprit, avant que je ne penses plus en nombres impairs, mais en nombres premiers.


Salutations de bonne journée, n'hésitez pas à vous présenter !